Te voilà à présent au milieu des décombres. Aucun adversaire à l'horizon. Aucun excité violent, ne pensant qu'à casser tout ce qui est encore debout. Il y a juste toi en communion avec une cité dévastée. Les détritus témoignent d'un monde plus ancien, arraché aux hommes par leur propre colère. Les odeurs contredisent cette version, leur authenticité dicte à ta conscience que le monde n'a jamais tournée autrement qu'à présent. Il est bien plus facile de tromper un nez que des yeux, de plus, ces effluves sournoises deviennent nauséabondes et te laissent un goût de cendres dans la bouche. Cela fait plus d'une heure que tu marches et tu sens déjà tes jambes usées. La nuit tombera bientôt, tu devrais t'en aller, tu sais ce qu'on dit sur ce quartier. Tu laisses une dernière fois la brise tiède effleurer ton visage puis repart lentement, traînant les pieds comme un enfant puni. Tu ne veux pas partir, c'est ton sanctuaire et tu aimerais y rester juste un peu plus longtemps que d'habitude, même si c'est dangereux. Tu marches silencieusement jusque dans une ruelle, tu ne vois personne, tu n'entends personne. Des craquements plaintifs retentissent au fond de ton coin sombre, tu t'approches avec prudence. Tu te figes. Ton cœur semble exploser. Un son métallique assourdissant se fait entendre. Il te faut plusieurs secondes pour sortir de ta pétrification et te rendre compte qu'une simple poubelle est tombée sous les coups du rat le plus laid que tu n'as jamais vu. Rassuré de moitié, tu tombes en tailleur au fond de cette ruelle avant de t'abandonner au torrent de pensées qui se mêlent à tes rêveries habituelles. Tu te sens alors terriblement fatigué mais n'osant pas dormir tu ne t'autorises qu'à fermer un œil. L'épuisement se fait sentir de plus en plus, tu alternes la fermeture de tes yeux essayant de lui résister. Tu finis alors par te perdre. Exactement ce pourquoi tu es venu ici. « Et puis, qu'est-ce que je risque ? » t'exclames-tu dans tes derniers instants de somnolence.

Je me promenais seul,sans personne .Comme a mon habitude je regardais partout autour de moi.Rien...si se n'est les décombres n'était visible Puis au bout de quelques minutes.Quelque chose fut visible un homme, par terre qui ne bougeait pas .Je le regarda longuement puis lança des regard a droites a gauche pour voire si personne n'était là.Et en effet personne.Je décida de m’asseoir conscients que cette homme  est potentielement un ennemis mais qu'importe. Je décida d'abord de voir son poul . Il était vivant. Puis je décida d'attendre l'endroit était calme pas un chat pour perturber la tranquillité . quelque minute plus tard je me rappela que l'endroit pouvais malgré tout être dangereux . je lui posa ma main sur l'épaule puis le secoua doucement en chuchotant "Hey! Réveil toi!"

Un ennemi. Tu tombes nez-à-nez avec un ennemi. À  peine réveiller tu bondis sur tes pieds. Le gamin en face de toi te regarde avec des yeux ronds. Le chaos urbain accentue l'atmosphère de terreur qui règne dans cette ruelle salle. Te faire surprendre par ton adversaire est une de tes plus grandes angoisses, n'avoir aucune échappatoire en est une autre. Coincé dans ce cul-de-sac, les murs semblent se rapprocher pour te plonger vers la lente agonie. Non, pas cette fois, pas aujourd'hui tu te refuses à la mort. Ce n'est qu'un gamin, tu pourras le battre dès que tu seras réveillé et désengourdie, en attendant il te faut gagner du temps.

-T'es qui ? Comment tu t'appelles ? De quel clan tu viens ?

Caches-tu  avec brutalité à celui qui t'a sorti de tes doux rêves.

Il est devant moi prêt a me bondir dessus. Je fais quelque pas en arrière . puis je baisse ma garde et le regarde droit dans les yeux.je me concentrait sur se qu'il pouvait faire,bondir,fuir qu'allait t'il faire? Il a n'a pas l'aire réveiller si je dois me battre j'ai encore une chance mais si je me bat maintenant sa fera des blessures inutiles .

-quelqu'un qui aurait pu te tuer dans ton sommeil mais qu'il ne la pas fait.

Dis Anoru en hochant les épaules et en gardent son sang froid.

Le garçon prend un air arrogant, il est de ces personnes qui profite du moindre instant de pouvoir et d'attention qu'on leur donne. Son imprudence pourrait lui être fatal, tes jambes se dégourdissent, tes machinations fonctionnent. Tu te sais plus fort que lui, mais il lui restera une maigre chance de victoire même quand tu seras au plus grand de ta forme. Tu te met à reconsidérer le combat potentiel tout en prenant la mouche et devenant d’avantage autoritaire.

-quelqu'un qui aurait pu te tuer dans ton sommeil mais qu'il ne la pas fait.
-Gamin, je ne le redirait pas, identifie toi tout de suite !

Tu es sur le point de retrouver une condition physique optimale.

Je soupira une seconde puis je fronça les sourcils .Ensuite je recula encore un petit peu plus en remontant ma garde.N'étant sur de rien mais ayant premièrement l'avantage de son dur réveil et ayant aussi l'avantage du terrain car je suis ici "chez moi".

-Anoru. Tu est sur mon territoire celui des Panthers tu ferait bien de baisser d'un ton car qui te dis qu'il n'y a pas d'autre Panthers cacher ici ?

Je tentait le bluff en espérant pouvoir l'intimider un peu .

La voix du petit homme se voile. Il a peur, ça ne te fais aucun doute, à juste titre puisque tu comptes bien lui faire passer un mauvais moment s’il ne quitte s’en va pas de façon immédiate. Mais soudain c’est à ton tour d’avoir peur.
-Anoru. Tu est sur mon territoire celui des Panthers tu ferait bien de baisser d'un ton car qui te dis qu'il n'y a pas d'autre Panthers cacher ici ?
-Très bien mon garçon. Tes mains chauffent, ton sang est à ébullition, tu te prépares à bondir. Où sont-ils ?



[EDIT STAFF] - Attention à bien respecter les 10 lignes minimum Svp /!\

Je me préparai a courir le semer sera facile courant a 32 km/h ,j'y arriverais facilement je commence a courir en sprint en prenant les ruelles puis arriver a un endroit je me cachas puis j'attendais la dans se vieux parking sous terrain entre deux voiture que mon adversaire se montre descende juste l'assommer et le capturer ... je le mettrais dans une cave froide. l'aire était frais ici comme on pouvait s'y attendre dans un garage au mois de décembre l'endroit était donc a mon avantage car les voitures et les ruines était de bonnes cachettes .Je n'était pas sur de gagner mais je pouvais au moins
m'en sortir sans trop d'égratignure il y avait une vielle canette par terre elle pourrais le servir de leur je l'ai prise .Au cas ou je changeais régulièrement de cachette pour ne pas être dans un endroit trop évident.Pour moi c'était évident la chasse a commencé .

C’est ainsi, le gamin fuit. Tu te retrouves une fois de plus seul dans cette allée. Tu as pris des risques. Beaucoup trop de risques. Toi la grande gueule, tu te fais bien petit ; déchet parmi les déchets, la chasse est finie avant d’avoir commencé. Tu préfères t’enfuir à ton tour devant un ennemie déjà en déroute. Couard chez les couards, tu cours vers ton quartier aussi vite que tes jambes peuvent te porter, les ombres se font menaçantes, le moindre bruit est une agression. Détalent les couleurs et les odeurs, ton nez se trompe tes yeux se perdent, d’une ruelle tu tombes dans un parking souterrain, les voitures défilent, les lieux aussi, tu perds le nord, le retrouve à l'est puis t’arrête finalement dans un endroit isolé, t'abandonnant à toi même, essoufflé et démoralisé.  Ton cœur semble vouloir s’arrêter quand l’impossible vient à arriver ; tu te retrouves nez-à-nez avec celui que tu es censé poursuivre. Tu plonges tes yeux dans un miroir de lâcheté par cet incident à l’ironie profonde, comme si tu étais traqué par ce que tu essayais de fuir.
-Je suppose qu’on doit se battre maintenant…

Lâches-tu sans conviction.